Une situation vécue lors du panel inaugural de l’événement YOLEC mercredi 11 juin m'a laissé de marbre. Ce billet invite à réfléchir sur la manière dont ces événements peuvent devenir encore plus inclusifs et conviviaux. Cependant, j'ai adressé un mail pour notifier mon vécu que vous pourrez lire dans les prochaines ligne. N'hésitez pas à me donner votre point de vue en commentaire
En effet, j'ai été informé des activités du YOLEC sur les plateformes social.
Je sais combien, tenir une évènementielle n'est pas aisée.
Il s'est trouvé que j'avais un examen à faire à la première heure de la journée.
Incertains, je me suis réservé de m'inscrire en ligne, ne sachant pas à quelle heure j'aurais fini. Il n'aurait pas été de bon sens de réserver ma place et de pas honorer de ma présence.
Arrivé à 10 heures, grande fut ma surprise de me voir accéder au panel inaugural, car je ne me suis pas inscrit.
Toutefois, il n'est mentionné nulle part sur les visuels et messages de communication que les inscriptions est obligatoire.
Pour moi, cet évènement revêt d'une importance capitale au regard des thématiques proposées.
Le YOLEC est un évènement organisé par les jeunes, pour les jeunes.
En tant que jeune, je me sens exclus des activités que vous avez organisées.
Je suggère un peu de compréhension et de sympathie de la part des hautesses d'accueil.
L’objectif de ces activités est de favoriser une participation inclusive et enrichissante pour tous les jeunes, sans distinction.
Je formule donc le vœu que les prochaines éditions puissent intégrer une meilleure communication sur les modalités d’accès, ainsi qu’une certaine souplesse pour permettre à ceux qui, malgré leur volonté, rencontrent des contraintes, de ne pas se sentir mis à l’écart.
Comment auriez-vous réagit à ma place ?
Marc Kévin BADO
Community Manager,
Créateur de contenu multimédia
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